Covid-19 : le virus qui vient booster l’esprit créateur
Depuis décembre 2019, le monde traverse une crise sanitaire sans précédent. Toutes les activités sont aux arrêts et le taux de chômage est en hausse. Cependant, l’homme étant l’être doté de conscience, n’a pas croisé les bras. Il a plutôt utilisé une stratégie simple pour surmonter cette situation par son génie créateur : télétravail, e-commerce, e-learning et certaines machines à la portée de tous pour stopper la propagation du virus qui ne cesse de prendre l’ampleur.
Au début, c’était vraiment la panique, juste au nom de Coronavirus, les gens tremblaient, fuyaient et se cachaient. C’est drôle quand je me rappelle de tout ça, et maintenant par la grâce de Dieu, l’espoir semble revenir un peu par une réduction de la mortalité liée à ce virus.
Les médias et les réseaux sociaux sont devenus deux loisirs incontournables pour tout le monde, surtout RFI. Certaines personnes, même, qui ne comprennent pas le français mettent la radio pour être informés sur cette crise sanitaire éblouissante.
Dans une préface bimensuelle de l’Avant-Scène théâtre, publiée en 2000, sous le n°1077, Danielle Dumas explique l’importance du machinisme pour l’homme :
« Dieu, dit-on, a créé l’Homme, quand il eut désobéi à son Créateur, a créé les machines pour montrer qu’il pouvait gagner son pain sans que la sueur de son front ne l’aveuglât. Plus d’inspiration, pour moins de transpiration. Son intelligence a découvert dans les applications techniques des horizons infinis. Les machines ont donc soulagé notre peine ».
Des robots qui travaillent à la place de l’homme
Un aspect très particulier à signaler est celui du génie créateur africain pendant cette pandémie du Covid-19. Cette jeunesse valide et innovante s’est sorti de son carcan pour prouver qu’elle peut aussi créer, fabriquer sans autant d’intervention d’un continent puissant.
Cette crise oblige tout le monde à se débrouiller, à faire mieux, et c’est pourquoi l’Afrique qui attend toujours des autres, s’est mise à inventer des outils nécessaires, et qui sont aujourd’hui un modèle pour les autres nations du monde.
Par exemple actuellement à N’Djamena, la population n’accepte pas les masques, les blousses, les gants, les savons et gels hydroalcooliques fabriqués ailleurs. Elle veut consommer le local et non des marques venues d’Europe ou d’Amérique.
Pour terminer, cette crise a multiplié l’idée de création chez les jeunes en général et en particulier en Afrique. À mon avis, je dirais même que le Covid-19 a donné la chance à certains États africains, enfin de pratiquer le vrai numérique dans l’enseignement, le commerce digital et a aussi permis à certains dirigeants qui gobaient mal l’internet dans leur pays de saisir l’occasion de le viabiliser davantage.
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