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L’année 2021, c’est une période décisive au Tchad. Les organisations de la société civile appellent à manifester, les jeunes diplômés demandent leur intégration à la fonction publique et le conseil militaire de transition réitère son engagement haut et fort de conserver le pouvoir jusqu’à la tenue des élections libres et transparentes.

La mort du président Deby a plongé le Tchad dans l’inquiétude de l’avenir du pays. Tout le monde se pose la question : le Tchad ne serait-il pas plongé dans un chaos total comme la Libye ? Face aux réactions du conseil militaire de transition (CMT) dirigé par un autre Deby, la démocratie a-t-elle sa place au Tchad ?

L’élection présidentielle de l’année 2021 s’est passée en mode "allons seulement dans la capitale N’Djamena et quelques grandes villes du pays." Dix candidats inscrits dont le président sortant Deby, depuis 1990 au pouvoir, qui brigue ainsi un sixième mandat pour six ans.

C’est la première fois qu’une femme est nommée cheffe de village au Tchad. La décision fait débat, encore aujourd'hui, pourtant elle est courageuse et appelle à une évolution des mentalités.

Les conflits récurrents entre agriculteurs et éleveurs au Tchad inquiètent toute la population et obstruent le code de la cohabitation pacifique.

Depuis quelques jours, le décret portant le confinement de la ville de N’Djamena pour une période d’une semaine renouvelable, la population N’Djamenoise en colère. Une lamentation totale de la condition des vies, chacun déplore son sort et se pose la question : comment faire pour s’en sortir de ce pétrin du gouvernement des riches ?

La septième édition du festival littéraire international Le souffle de l’Harmattan s’est tenu du 9 au 12 décembre 2020 au centre culturel Al-mouna, à N’Djamena. Le pays invité d’honneur est le Burkina-Faso. Cette année, l'édition est particulière et s’est déroulée dans le calme et le respect des mesures barrières.

Si j’avais su ! Une formule célèbre en milieu jeune, un refrain dans les débats qui rappellent souvent les bons moments de la vie et que l’on n’a pas pu faire autrement et qui sont devenus l’enfer aujourd’hui. Car dit-on, les souvenirs font partie intégrante de la vie de l’homme, c’est pourquoi cette locution se veut dire les regrets.

Ce mois de novembre numérique veut donner la lettre de noblesse à la littérature tchadienne d’expression française, pour inciter la jeunesse à lire et écrire.

Les travaux de ce deuxième forum national inclusif examinent plusieurs thématiques à savoir : les réformes et réaménagements de grandes institutions, les formes de l’État, régimes parlementaires, réduction d’âge à la candidature de la présidence, création de poste de vice-présidence, suppression des serments confessionnels, les conflits incessants agriculteurs-éleveurs,...émanant des recommandations et résolutions de la quatrième République du Tchad. Mais aussi mécontentement des partis de l'opposition.

« L’eau, c’est la vie ; l’eau, c’est la mort » a-t-on coutume de dire. Avec la montée des eaux du fleuve Chari, les frontières deviennent incontrôlables par les autorités tchadiennes. Entre noyade et trafic clandestin, cette montée des eaux créé des pertes de vies humaines.

Du 15 janvier au 16 octobre s'est tenu, durant exactement dix mois, le programme "Mon quartier, mon engagement" à N'Djamena. Lancé par la Fondation Grand Cœur, l'initiative a sensibilisé les jeunes à la citoyenneté, la culture potagère, l'entrepreneuriat et le secourisme.

C’est ironique de parler du masque comme une carte d’identité nationale. Mais cela semble vrai, et même plus important que les pièces d’identité en cette période de pandémie de Covid-19. Mon masque, ma liberté.

Un enfant qui n’a pas reçu une bonne éducation pose problème à sa famille, sa communauté et à l’État. Aussi, l’éducation est un héritage qu’un père doit léguer à son enfant. Un trésor inépuisable qui garantit la responsabilité de demain, car dit-on : "la rue n’a pas des enfants, ce sont nos enfants".

Par la présente, nous, étudiants, écoliers, blogueurs, passionnés des réseaux sociaux et entrepreneurs demandons aux hautes autorités du pays et les opérateurs de la téléphonie mobile (Airtel et Tigo) de songer à l’avenir de la jeunesse tchadienne. La réussite scolaire et universitaire demandent totalement de ces deux mamelles à l’ère du numérique. Car dit-on aujourd’hui que : « la lumière n’est un luxe mais une nécessité ». Loin de cette pensée et à mon avis, je dirais que la lumière reste encore un luxe au Tchad.